Cet hiver j’ai fait la demande aux docs fédéraux d’agrémenter ma visite médicale de suivi haut niveau de printemps par un test d’effort en hypoxie proposé dans mon Centre Médico Sportif préféré de Poissy-Saint-Germain. Hier je me suis donc tartiné ECG, BU, ORL, psycho… et ce nouveau test.
En résumé, il s’agit de s’équiper d’un masque à oxygène, ou plus exactement d’un masque à privation d’oxygène, d’un moniteur cardiaque, d’un appareillage de mesure des gaz consommés et expirés, le tout sur un ergocycle au cours d’alternance de phases de récupération et d’effort à basse intensité (30% environ de la puissance maximum, soit en gros 120 à 140 Watts me concernant).