On prend les mêmes et on recommence, zim boum entre les antennes de la Saline et du Plate. C’était un peu plus mou aujourd’hui, plafond plus bas, air plus humide. Je fais les deux antennes à hauteur et il me faut bien plus d’une heure pour l’aller/retour. Ensuite c’est opération rinçage en tentant de remonter au déco qui, de toutes façons est derrière le nuage. Donc je prends mon temps et des photos pour descendre poser et me sécher à Kélonia.
Championnat de France 2011: vendredi 4, reconnaissance
Orly (et pas Charles de Gaulle, celle-là je l’ai déjà faite une fois), un peu plus de 10 heures d’avion, 6 heures de sommeil volées au passage, bagages récupérés rapidement, voiture de location, embarquement du jeune Maxime (moi c’est l’ancien), direction Saint-Leu, hésitation à descendre de la route des Tamarins vers l’attéro, il est 9h passées, trop de voiles déjà en l’air, la côte en direction du déco, dépliage, calage des GPS, pissou, et hop en l’air!
Championnat de France 2011
Après être resté enfermé trois jours dans un hôtel pour le bien de la PWCA, puis un jour de la Toussaint bien gris à Paris, je me réjouis à l’idée de prendre l’avion jeudi soir à destination de l’Ile de la Réunion.
Quand la pratique sportive croise le droit
Après avoir obtenu l’autorisation de publier leur article de la part des auteurs, voici le texte intégral de la discussion évoquée dans un billet le mois dernier: « Quand la pratique sportive croise le droit ». Cet article se présente comme un dialogue entre un juriste et un ethnologue, François Mandin et Gilles Raveneau, débattant du traitement juridique du risque sportif.
Réglez votre siège en position lecture, c’est parti!
Le pouvoir pathogène du virus delta
Voici en pièce jointe un article (merci Arnaud!) paru dans une revue médicale il y a 30 ans environ sous la rubrique « L’aventure médicale ».
Extraits
Êtes-vous un « libériste », un passionné de deltaplane, ou bien regardez-vous d’un œil méfiant ces fous qui se jettent de falaises ou de pics montagneux accrochés à leur aile bariolée? Chacun sait que le vol libre est dangereux: « le sport qui tue », disent certains. Après l’avis des fanatiques, nous vous livrons celui des médecins de la Fédération de Vol Libre.