Nouvelle manche sous le voile d’altitude aujourd’hui. Nous avons une distance de 53 km à parcourir en temps mini avec heure limite. Sachant que l’heure limite de start est moins d’une heure après l’ouverture de la fenêtre de décollage, cela revient à une course au but. Deux argentins prennent tout de même le start 15 minutes avant la limite et bien leur en a pris: si l’un d’entre eux pose en route le second gagne la manche. Ils connaissaient suffisamment les lieux pour voler seuls en plaine.
Archives de catégorie : Saison 2007
Coupe du Monde Argentine 2007: manche 3 (jour 6)
Une nouvelle manche pour du beurre. C’est super ici, on vole tous les jours. A peine le grand voile d’altitude parti, le DE annonce une manche, puis la raccourcit, puis ouvre la fenêtre, et hop un nouveau voile arrive. Nous voici partis pour 45 minutes de survie avant l’ouverture du start pour une course au but de 50 et quelques kilomètres.
Coupe du Monde Argentine 2007: photos
J’ai mis quelques photos en ligne ici.
Coupe du Monde Argentine 2007: manche 2 (jour 5)
Enfin nous avons volé! Après la pluie diluvienne de la soirée et de la nuit, nous sommes étonnés du grand bleu ce matin. Sur le déco les conditions paraissent très stables, avec tout de même des cums isolés et sous le niveau du déco. Le DE lance tardivement à mon goût une manche de 66km.
Alors tout de suite un premier bilan: je vais prendre une grosse raclée. Mon objectif chiffré de rentrer dans les 30 sur la compète vient de voler en éclats. Je vais me réorienter d’autant plus sur le qualitatif pour la suite, et pour le quantitatif je vais essayer de sortir une ou deux grosses manches. Ne me suivez pas, ça va pusher sévère!
Coupe du Monde Argentine 2007: jour 4
Pas de manche aujourd’hui. La journée avait assez bien commencé, et le ciel n’a fait que se détériorer. A 14h30 le DE annonce l’annulation et le vent passe plein cul au déco. Spectacle des pilotes Advance, à l’exception notable de Maurer, qui gonflent face à la montagne sur un surplomb et se jettent en virage dans la combe, limite, limite. Impossible donc de décoller pour un pilote sensé, et descente dans la benne d’un pick-up, avec un peu de pluie sur la fin pour couronner le tout.