Alors non, je ne regarde plus les prévisions météo lorsque je suis en compétition. Il fera le temps qu’il fera. S’il y a une manche, il faut la faire. S’il n’y a pas de manche, il ne faut pas la faire! Comme ça, pas de surprise. Tout ça pour dire que mes petits camarades étaient d’accord hier pour dire que les modèles météo eux-mêmes étaient d’accord sur le fait que la journée serait bâchée. Je vous confirme, elle est bien bâchée et la manche aussi. Nous ne sommes même pas montés au décollage, d’ailleurs je me demande dans quel état peut bien être la piste d’accès. Nous verrons bien demain!
Comment s’occuper en tel cas? Et bien voici quelques ingrédients: un peu de repos tout d’abord car ce sont des vacances, aucun d’entre nous n’est pilote professionnel, nous prenons sur notre temps libre et nos économies pour assouvir notre passion. Ensuite, un peu de boulot, car en effet le fichier de budget est enfin arrivé vendredi soir et il faut le rendre avant la fin de cette semaine, normal! Enfin, une bonne promenade, en ville puis à la campagne, pour dissiper les quelques relents de stress qui ont pu être générés précédemment.
La ville est assez pauvre en distractions ou commerces. Miséreux que nous sommes, nous n’avons pas encore pu trouver une churrascaria digne de ce nom. Je pense aller tout à l’heure dans la ville voisine visiter l’Instituto Terra dans lequel sont hébergés bon nombre de pilotes et qui est un lieu de préservation du milieu naturel. Il doit bien être possible d’y faire une ballade et apprendre quelques nouveaux noms d’arbres ou d’oiseaux. Ca peut toujours servir.
Alors à demain pour de nouvelles aventures!