Il existe deux versions du vol d’aujourd’hui. La première vient à chaud, au cœur même de l’action. J’ai du mal à monter, quand je suis au plafond il reste encore 45 minutes avec le start, je me détends un peu. Et je perds donc ce plafond que je ne retrouverai pas. Je pars donc bas mais avec un plan. Je trouve mon +4m/s là où je l’avais imaginé et me replace en haut avant la B1. C’est alors que s’ouvre une faille dans l’espace-temps qui me laisse tout seul en l’air, bon dernier. Je n’en reviens pas. Je suis pourtant avec Luc et Julien, qu’est-ce qu’on fiche là à la traine? Je repars donc en mode teuf teuf pour boucler la manche au ralenti.
La seconde version vient un peu plus à froid. Après la douche car nous sommes rentrés trop tard pour la piscine! Elle dit que j’ai toujours du mal à monter, mais que je ne suis pas resté avec la grappe à attendre au plafond. Elle dit aussi que le vent changeant m’a troublé avant d’entrer dans la plaine, et que j’anticipais une grosse stabilité sur le plat. Du coup j’ai enroulé des pets de mouches et je n’ai pas appuyé sur le bouton de vitesse hyperluminique. Au lieu de cela j’ai tiré le frein à main. A tort.
Au final je n’ai que 15 minutes de retard sur les premiers alors que je pensais en avoir pris au moins 30. Julien me met 5 bonnes minutes et Luc 10, comme quoi je n’étais pas tant à la rue que ça. Il faut vraiment que je me lâche dans ces conditions finalement généreuses.
Aller le Max!!!
On lève les mains et on tend les jambes!!!……mais attention au retour de bord d’attaque ds la face!!^^
Merde pr la suite, on vs suit ts les jours!!
@ push