Pré-PWC Afrique du Sud: samedi 11, madame la marquise

Gros désenchantement avant de partir: la voile que j’attendais avec tant d’enthousiasme pour la tester en situation de compétition n’est pas arrivée chez moi avant mon départ. Du coup une énorme partie sinon la totalité de mes objectifs sportifs de la semaine se sont envolés avec elle. La déception est à la hauteur de la quantité de questions auxquelles je vais continuer d’attendre des réponses. Histoire de positiver je me dis que les paquets qui se perdent cela arrive, que je ne vais pas me mettre en-dessous d’un proto et que je vais voler avec la machine que je connais bien pour l’utiliser depuis plusieurs mois.

Grosse déconvenue en arrivant: mon sac de voile n’a pas fait le voyage avec moi, il est resté en transit à Amsterdam. Un grand merci à notre compagnie nationale, je me demande pourquoi je continue à lui donner mon argent pour des billets chers et un service réduit. Histoire de positiver je me dis que le vent a été trop fort pour voler aujourd’hui à Porterville et que le parapente il n’y pas de problème c’est comme le vélo, je vais me lancer demain matin dans une manche de compétition internationale sans avoir volé depuis plus de 2 mois.

Un microbe a choisi ce moment particulièrement opportun pour me transformer en zombie: front fiévreux, nez morveux, gorge en feu, cerveau gélatineux…

Tout va bien!

Enfin, c’est que j’écrivais samedi.